Bifère qui a la particularité de produire autant de figues-fleurs au printemps que de figues d'automne.
Synonymes : Grise de Tarascon, Boule d'or, Adam, Rouge d'Argenteuil, Grosse de Juillet.
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Floraison
Ficus carica, le figuier commun, s’impose comme une essence de choix pour aménager un jardin sec durable, esthétique et productif. Emblématique des paysages méditerranéens, il conjugue une tolérance exceptionnelle à la sécheresse, une forte valeur ornementale et une fructification généreuse. Dans un contexte de restriction d’eau, de canicules plus fréquentes et de sols pauvres, le figuier coche toutes les cases : il accepte un sol drainant et caillouteux, il a besoin de très peu d’irrigation une fois installé, et offre une ombre douce très appréciable dans les scènes minérales.
Ficus carica appartient à la famille des Moraceae. Petit arbre caduc à sève lactescente, il présente un port naturellement étalé et sculptural, des feuilles larges profondément découpées, et une longévité remarquable. Son “fruit” est en réalité un sycone, une inflorescence charnue renfermant de minuscules fleurs, ce qui explique l’absence de floraison apparente. Les figues se consomment fraîches, séchées ou transformées, et certaines variétés produisent deux récoltes dans l’année. Bon à savoir pour les jardiniers en climat non méditerranéen : la plupart des cultivars dits “communs” sont parthénocarpiques, c’est-à-dire qu’ils fructifient sans pollinisation par la petite guêpe du figuier (Blastophaga psenes). La caprification (pollinisation via caprifiguier) n’est requise que pour des variétés spécifiques peu diffusées en jardin.
Originaire du Proche-Orient, Ficus carica a été domestiqué dès l’Antiquité. Son écologie l’a façonné pour résister aux étés chauds et secs, aux sols calcaires et aux vents. Relativement tolérant aux embruns, il peut se cultiver près du littoral si le sol est bien drainé. À noter : le latex du figuier peut être irritant pour la peau et photosensibilisant, notamment lors de la taille ou de la cueillette par forte chaleur. Portez des gants et évitez le contact avec les yeux.
Dans une palette d’arbres fruitiers souvent gourmands en eau, le figuier fait figure d’exception xérophile. Une fois bien enraciné, Ficus carica supporte des semaines de sécheresse et continue de produire, surtout si le sol est paillé. Il offre un double bénéfice esthétique et alimentaire : une silhouette graphique, une canopée ombrageante au feuillage texturé et, en saison, des figues parfumées. En aménagement urbain et paysager, il limite les besoins d’entretien, contribue à rafraîchir les surfaces minérales (atténuation des îlots de chaleur) et attire une petite faune auxiliaire utile. Côté ressources, un figuier adulte bien implanté se contente d’appoints d’eau ponctuels en année extrême, là où d’autres fruitiers demandent une irrigation soutenue régulière.
La résilience de Ficus carica vient de sa physiologie et de son architecture. Son système racinaire devient profondément explorateur en sol filtrant : il colonise les horizons sous-jacents et s’étale au-delà de la projection de la ramure, ce qui lui permet de capter l’humidité résiduelle. Son feuillage épais, muni d’une cuticule protectrice, limite les pertes d’eau. En période de stress, la plante ferme rapidement ses stomates pour réduire l’évapotranspiration, un mécanisme très efficace qui explique son bon comportement en été caniculaire. Arbre caduc, il entre en repos hivernal, ce qui minimise ses besoins hors saison.
Côté climat, Ficus carica préfère les hivers modérément froids, les printemps doux et les étés chauds et secs. Une fois installé, beaucoup de variétés supportent de –12 °C à –15 °C, en particulier si le bois a bien mûri en fin d’été. Les jeunes pousses sont plus sensibles au gel tardif. En zones continentales (équivalent zones USDA 7 à 9), le figuier repart souvent de souche après un hiver rigoureux et peut fructifier à nouveau en fin d’été si la variété est précoce. Les véritables limites se situent dans les climats très humides et frais l’été (maturité tardive, fruits qui éclatent après de fortes pluies) et les sols lourds asphyxiants. En climat littoral venteux, il résiste plutôt bien, surtout s’il est abrité par une haie brise-vent.
Le figuier aime les sols légers à moyens, pierreux ou sableux, très bien drainés, du pH neutre au calcaire (6,5 à 8,5). Il tolère bien le calcaire actif et se montre rarement chlorotique. Évitez les terres compactes et l’humidité stagnante qui favorisent les pourritures du collet et des racines. Si vous ne pouvez pas changer de site, surélevez la plantation en butte, incorporez généreusement des matériaux drainants (pouzzolane 7/15, graviers roulés, sable grossier) et travaillez le sol en profondeur pour casser les semelles. L’exposition doit être très ensoleillée pour assurer une bonne maturation des fruits ; la mi-ombre chaude est tolérée dans le Midi mais réduit les récoltes. En climat frais, un mur plein sud joue le rôle d’accumulateur de chaleur, avance la maturité et protège des vents froids.
La croissance est rapide les premières années si le sol est chaud et filtrant. Un figuier adulte atteint en moyenne 3 à 5 m de haut pour 3 à 6 m de large, avec des écarts selon variété, sol et conduite. Son architecture basitone produit des rejets de base, utiles pour rajeunir le sujet ou former une touffe multi-troncs en jardin sec. La longévité dépasse 50 ans, avec des sujets centenaires courants dans le bassin méditerranéen.
La taille n’est pas systématique mais elle améliore la structure, la fructification et la facilité de récolte. Attention à la relation taille-fruit : pour les variétés bifères, une taille hivernale trop sévère supprime la récolte de figues-fleurs portées sur le bois formé l’année précédente. Les tailles d’éclaircie, l’aération du centre et les pincements d’été, plus doux, favorisent une production équilibrée sans épuiser l’arbre.
Graphique par nature, Ficus carica structure un jardin sec avec force. Son ombre légère tempère les revêtements minéraux, protège un sous-étage de vivaces xérophiles, et valorise un paillage de graviers. Sa fructification, de juin à octobre selon les régions et les cultivars, apporte une dimension sensorielle forte dans un jardin économe en eau. Les figues nourrissent la faune locale (oiseaux, insectes) et les fruits abîmés au sol enrichissent la vie du sol. Sur le plan productif, un figuier adulte bien exposé peut offrir de 10 à 30 kg de figues par saison, avec un pic de production sur la récolte principale d’août à septembre.
Le bon emplacement conditionne 80 % de la réussite de Ficus carica en jardin sec. Choisissez un plein soleil abrité des vents dominants et des couloirs d’air froid. Utilisez les microclimats : pied de mur sud, muret de pierre sèche, talus caillouteux, pente orientée sud ou sud-ouest. Respectez des distances de 4 à 6 m des autres arbres et des fondations. Les racines du figuier, puissantes et opportunistes, recherchent l’humidité ; gardez-le à distance des fosses septiques, drains et réseaux. En zones urbaines contraintes, installez une barrière anti-racines (PEHD ou géotextile spécifique) sur 60 à 80 cm de profondeur en périphérie de la fosse de plantation.
Préparation du sol : ameublissez sur 60 à 80 cm en cassant les horizons compactés, puis mélangez 20 à 40 % de matériaux drainants au volume de terre arable extrait. Dans un sol très pauvre, ajoutez une petite proportion de compost mûr pour ensemencer la vie microbienne sans excès d’azote. Évitez les fumures fraîches et les amendements lourds retenant l’eau. L’apport d’un inoculum mycorhizien peut accélérer l’exploration racinaire en sol minéral. Terminez par l’installation d’un paillage en surface pour limiter l’évaporation.
Le calendrier de plantation s’adapte au climat. En climat doux à hivers secs (méditerranéen), plantez à l’automne pour favoriser l’enracinement hivernal et un démarrage printanier rapide. En climat froid ou à hivers humides, privilégiez la fin d’hiver-début de printemps, lorsque la terre est ressuyée et que les fortes gelées sont passées.
Étapes détaillées :
Notre démarche: Au GAEC Senteurs du Quercy, chaque plante est cultivée en conteneur de 1,4 L anti-chignon BAMAPLAST pour un enracinement optimum. Le mélange utilisé est composé d'un terreau drainant à base de fibre de bois utilisable en agriculture biologique et enrichi en terre végétale non traitée afin de stimuler le microbiome (les bactéries et champignons) du sol ainsi permettre la mise en place de mycorhizes pour une meilleure reprise et une meilleur résilience de vos plantes. Le paillage en fibre de coco pour l'économie d'eau et la non utilisation de produits phytosanitaires complète notre engagement en faveur d'une production adaptée à notre époque : une solution durable, esthétique et performante pour vos plantes de terrain sec.
Tuteurage et protection : un tuteur discret peut stabiliser un jeune plant en site venté la première saison. En climat froid, un voile d’hivernage sur la ramure et un épais paillage au pied protègent des gels intenses. En climat très chaud, un badigeon de chaux horticole ou un ombrage temporaire évitent les brûlures d’écorce sur les jeunes troncs fraîchement exposés.
Espacement : 4 à 6 m en isolé selon la vigueur variétale ; 2,5 à 3 m pour une haie fruitière conduite en écran ; 2 à 3 m par sujet en espalier.
L’objectif en jardin sec est d’encourager un enracinement profond avec des arrosages copieux mais espacés. La première année, arrosez 15 à 20 L par séance, toutes les 7 à 10 jours en été si la chaleur et le vent sont soutenus, en mouillant un large disque de sol (60 à 80 cm de diamètre). La deuxième année, espacez à 2 à 3 semaines en période de canicule prolongée. À partir de la troisième année, un Ficus carica bien implanté n’exige généralement plus d’arrosage, sauf si l’on vise des fruits très calibrés en année de sécheresse exceptionnelle.
- Installez deux anneaux de goutte-à-goutte à 30 et 60 cm du tronc pour irriguer la zone d’absorption racinaire active.
- Utilisez des ollas (pots poreux enterrés) pour des apports ciblés en jardin très minéral.
- Arrêtez les arrosages 10 à 15 jours avant la pleine maturité pour concentrer les sucres, sauf en sol très filtrant où un stress trop fort peut provoquer la chute des jeunes fruits.
- Surveillez les signes de stress hydrique (feuilles flasques à midi qui ne se redressent pas le soir, jaunissements prématurés). Des arrosages profonds ponctuels rétablissent vite la situation.
Taille de formation (fin d’hiver) : structurez en gobelet aéré avec 3 à 5 charpentières bien réparties. Éliminez le bois mort et les branches qui se croisent. En espalier, sélectionnez 2 à 4 bras horizontaux et palissez régulièrement.
- Variétés bifères (deux récoltes) : évitez les tailles sévères en hiver, conservez une partie du bois de 1 an pour la récolte de début d’été (figues-fleurs). Privilégiez une taille en vert (pincements) en juin-juillet pour favoriser la mise à fruits d’automne.
- Variétés unifères : intervenez en fin d’hiver pour rajeunir les rameaux et stimuler la production de bourgeons à fruits sur les pousses de l’année.
Rejets de souche : sélectionnez 2 à 3 belles cannes de remplacement tous les 3 à 5 ans pour renouveler l’ossature et maintenir l’arbre productif. Supprimez les drageons indésirables pour éviter la concurrence avec le tronc principal.
Fertilisation : sobre. Le figuier prospère en sols maigres. Un excès d’azote favorise la pousse de bois au détriment des fruits et augmente la sensibilité aux cochenilles. Apportez au printemps une fine couche (2 à 3 L/m²) de compost mûr si le sol est très pauvre, et un appoint potassique léger (cendres de bois tamisées en très petite quantité ou engrais organique riche en K) pour soutenir la fructification. En pot, un engrais organique à libération lente ou un petit apport liquide équilibré mensuel de mai à juillet suffit.
Paillage : indispensable en jardin sec. Les paillages minéraux (pouzzolane, graviers clairs, tuiles pilées) stabilisent la température et réduisent l’évaporation, tout en renforçant l’esthétique méditerranéenne. Les paillages organiques (écorces, BRF bien mûr, feuilles broyées) améliorent la vie du sol et la porosité. Épaisseur recommandée : 5 à 8 cm, avec un dégagement autour du tronc.
En conditions sèches, Ficus carica est peu malade. Les principaux problèmes proviennent d’un excès d’humidité (pourritures, chancre) ou de stress déséquilibrant l’arbre.
À surveiller :
- Oïdium en fin d’été humide (voile blanc sur feuilles) : prévention par aération de la ramure et gestion de l’arrosage ; traitements légers au soufre ou au bicarbonate si nécessaire.
- Rouille du figuier (taches orangées sous les feuilles) : évitez les arrosages sur feuillage, ramassez et évacuez les feuilles atteintes.
- Cochenilles (sur rameaux, miellat et fumagine, fourmis associées) : brossage léger des rameaux, huiles blanches en fin d’hiver, anneaux de glu pour limiter les fourmis, lâchers de coccinelles possibles.
- Mouches et guêpes sur fruits mûrs : récoltez régulièrement, utilisez des sachets individuels ou des filets si besoin. En zones concernées, des pièges à appâts sucrés peuvent limiter la pression de Drosophila suzukii.
- Oiseaux : filets fins ou sacs à fruits ciblés sur les variétés tardives.
Le virus de la mosaïque du figuier entraîne un marbrage des feuilles, souvent sans impact majeur sur la production. Évitez simplement de bouturer des sujets manifestement affaiblis. En climat froid, protégez les jeunes arbres les premières années avec un voile d’hivernage en cas d’alerte gel.
La figue se cueille à maturité complète, lorsqu’elle est souple au toucher, légèrement affaissée et souvent ornée d’une petite goutte de nectar. Une figue récoltée trop tôt ne gagne pas en sucre après cueillette. Cueillez délicatement en conservant un petit bout de pédoncule pour éviter les blessures. Les figues se conservent 2 à 3 jours au frais ; pour prolonger le plaisir, faites sécher les variétés adaptées (au déshydrateur à 55–60 °C ou au soleil sous abri ventilé), préparez confitures, chutneys, compotes, ou cuisinez les feuilles, très aromatiques, en papillotes parfumées et infusions. Arrêter les arrosages avant la maturité améliore la concentration des sucres et la tenue des fruits.
Variétés recommandées pour jardins secs
- Ronde de Bordeaux. Très précoce, productive, fruits noirs ronds à chair rouge très sucrée. Arbre compact idéal petits jardins et régions à été court. Majoritairement unifère, maturité souvent dès août.
- Brown Turkey. Valeur sûre, très tolérante, fruits brun violacé, sucrés, arbre vigoureux, souvent bifère selon climat. Bon choix en climat océanique ou continental doux.
- Dalmatie (Dalmatia). Fruits verts à chair rouge parfumée, décoratifs, vigueur moyenne, très bien en bac. Bonne tolérance à la sécheresse après installation.
- Dauphine et Madeleine des Deux Saisons. Très gros fruits violets, excellente variété bifère en climat doux. Demande chaleur et plein soleil pour exprimer son potentiel.
- Violette de Solliès (Bourjassotte Noire). Référence gustative tardive, parfaite en Méditerranée avec longues arrière-saisons. Exige chaleur et drainage impeccable.
- Rosce Signora. Très rustique, capable de fructifier après reprise de souche, adaptée aux zones plus froides (mur au sud conseillé). Chair rouge, saveur riche.
- Sucrette. Petite figue brun clair très sucrée, arbre robuste, bonne rusticité, adaptée aux climats à hivers marqués et étés chauds.
- Negronne (Violette de Bordeaux). Arbre modeste, fruits très aromatiques, excellent en pot et en petit jardin, bonne adaptation en jardin sec chaud.
- Ice Crystal. Cultivar ornemental à feuillage très découpé, spectaculaire en composition. Fructifie correctement en site chaud bien ensoleillé.
- Longe d’Août et Dorée. Figue dorée, miel, précoce, bien adaptée aux régions à été court si exposition optimale.
- Brunswick. Gros fruits verdâtres, chair saumon, arbre vigoureux, tolérant, bien en sol drainant.
- Panachée (Tiger). Fruits striés vert/jaune, Spectaculaire, sucré, plutôt pour climats doux et très ensoleillés.
Critères de choix : précocité (essentielle en été court), rusticité hivernale, type (unifère/bifère), taille adulte et vigueur, aptitude à la culture en bac, saveur recherchée, et destination paysagère (isolé, haie, espalier). En jardin sec hors Méditerranée, privilégiez des variétés précoces et productives sur bois court (Ronde de Bordeaux, Negronne, Celeste, Hardy Chicago) pour sécuriser la récolte sans arrosage.
En isolé. Mettez en scène la silhouette libre d’un figuier en gobelet dans un disque minéral de graviers clairs ou de pouzzolane. Le contraste avec des vivaces de garrigue (santoline, armoise, phlomis) est saisissant. Prévoyez 4 à 6 m de diamètre libre pour le développement à terme. Un éclairage rasant mettra en valeur le graphisme des troncs et du feuillage.
En haie fruitière. Alignez des Ficus carica espacés de 2,5 à 3 m, conduits à 2,5–3,5 m de haut avec une taille d’éclaircie annuelle. Avantages : écran végétal généreux en saison, récolte échelonnée, faible arrosage. Inconvénient : prévoir un peu d’entretien pour maintenir la transparence et l’accès aux fruits.
En bac. Choisissez un contenant de 50 à 90 L au départ, puis 120 à 200 L pour une culture durable. Substrat drainant : 40 % compost d’écorce, 30 % terre végétale, 30 % pouzzolane ou perlite. Assurez un drainage parfait (grille, couche de billes en fond), arrosez profondément mais espacés, paillez en surface. Taille légère annuelle pour contenir le volume et renouveler le bois fructifère. Variétés compactes recommandées : Negronne, Ronde de Bordeaux, Dalmatie, Little Miss Figgy (nain). En hiver froid, protégez la motte (voile, isolant autour du pot) et rapprochez du mur sud.
En espalier. Parfait sous un mur bien exposé au sud dans les régions fraîches. Installez 2 à 3 niveaux de fils inox à 40–50 cm d’intervalle. Sélectionnez 2 à 4 bras horizontaux et palissez. L’espalier optimise l’ensoleillement, facilite la récolte et la protection des fruits, et réduit l’emprise au sol. Une taille en vert régulière maintient la forme et la mise à fruits.
Multiplication. Ficus carica se bouture très facilement. En fin d’hiver, prélevez des segments de bois aoûté de 20–25 cm, 1 à 2 cm de diamètre, 3–4 yeux. Piquez-les dans un mélange très drainant (50 % sable grossier/pouzzolane, 50 % terreau) en laissant deux yeux hors sol ; maintenez seulement humide jusqu’à l’enracinement. L’usage d’hormones de bouturage n’est pas indispensable mais améliore le taux de reprise. Le marcottage (simple, en serpenteau) au printemps fonctionne très bien. Les boutures herbacées de début d’été réussissent aussi sous atmosphère confinée et chaleur de fond. La greffe est possible mais peu nécessaire chez le figuier commun.
Oui, si vous choisissez une variété compacte (Negronne, Ronde de Bordeaux) et un grand contenant drainant. Arrosez en profondeur mais espacés, paillez et protégez la motte en hiver froid.
Manque d’ensoleillement, variété trop tardive pour votre climat, taille hivernale inadaptée (bifère), excès d’azote ou stress hydrique au stade de nouaison. Corrigez l’exposition, choisissez une variété plus précoce et ajustez la taille.
Puissantes et opportunistes, elles recherchent l’eau. Évitez les zones proches de drains, fosses et canalisations. Installez une barrière anti-racines en site contraint.
Non pour les variétés “communes” parthénocarpiques, majoritaires en pépinière. La caprification concerne des variétés spécifiques rarement vendues aux jardiniers amateurs.
Paillage épais au pied, voile d’hivernage sur la ramure, plantation au pied d’un mur sud. En cas de gel fort, l’arbre peut repartir de souche ; privilégiez des variétés rustiques et précoces.
Il peut être irritant et photosensibilisant. Portez des gants lors de la taille et évitez le contact avec les yeux.
Figuier 'Dauphine'
Figuier bien reçu, colis impeccable, emballage hyper soigné, c'est d'ailleurs la première fois que je reçois un colis aussi bien emballé en comparaison avec d'autres vendeurs. Planté directement dans un mélange terre terreau, fumier de vache.
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