Fleurs blanches avec des feuilles semi-persistantes vert bleuté.
Floraison généreuse.
Se ressème facilement en terrain drainé.
Facile à cultiver. Elle fleurit tout l'été si l'on prend soin de couper les fleurs fanées. Elle est appréciée des abeilles.
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Floraison
Centranthus ruber, aussi appelé valériane rouge, centranthe rouge ou lilas d’Espagne, est une vivace xérophile emblématique des scènes méditerranéennes et des jardins secs contemporains. Remarquée pour sa floraison longue et généreuse du printemps au début de l’automne, elle affiche des inflorescences légères et nectarifères, déclinées en rouge, rose et blanc. Son aptitude à prospérer dans les sols pauvres, caillouteux et calcaires, ainsi que sa résilience dans les fissures de murets ou sur talus arides, en fait une plante de choix pour réduire l’arrosage et la maintenance. Attention à la confusion fréquente avec la “coquelourde” (Lychnis/Silene coronaria), autre vivace de jardins secs : ces deux plantes sont différentes, tant par leur botanique que par leur port et leur entretien.
Originaire des régions méditerranéennes (Sud de l’Europe, Afrique du Nord), Centranthus ruber s’est largement naturalisée dans de nombreuses zones tempérées à climat doux, notamment sur littoraux rocheux, murs anciens et talus pierreux. Elle a été introduite dans les jardins pour sa floribondité et sa frugalité, puis s’est échappée de culture dans des contextes favorables. Aujourd’hui, on la rencontre fréquemment dans les paysages urbains et ruraux, où elle ponctue les maçonneries et les friches minérales de touches colorées du début de l’été à l’automne.
Centranthus ruber est une vivace basale à souche progressivement lignifiée, d’allure semi-arbustive. En climat doux, le feuillage est persistant à semi-persistant ; ailleurs, la partie aérienne peut disparaître en hiver pour repartir vigoureusement au printemps. La touffe arrondie atteint 40 à 90 cm de haut pour 40 à 60 cm d’étalement. Les tiges, dressées et très ramifiées, portent des feuilles opposées, entières, ovales à lancéolées, d’un vert glauque parfois légèrement charnu. La floraison, atout majeur de l’espèce, intervient de mai-juin jusqu’à septembre selon les régions, en panicules terminales aériennes. Chaque petite fleur tubulaire munie d’un éperon s’ouvre en étoile et attire une grande diversité de pollinisateurs. Les akènes plumeux qui suivent assurent une dissémination efficace, expliquant la propension au semis spontané. La plante se pérennise facilement, se renouvelle par semis, et affiche une longévité de 5 à 7 ans et plus si le sol est pauvre, minéral et très drainant.
La palette de Centranthus ruber s’organise autour de trois teintes principales, adaptées à de multiples ambiances :
- ‘Coccineus’ (ou ‘Atrococcineus’) : rouge carmin à rouge framboise, très visible en paysage, idéal pour dynamiser une façade ou structurer un talus.
- espèce type certaines fois nommé ‘Roseus’ : rose tendre à rose moyen, parfait pour adoucir un massif avec des feuillages argentés et des floraisons bleues.
- ‘Albus’ : blanc pur, éclatant en soirée, très efficace pour éclairer les scènes minérales et les murets sombres.
On rencontre ponctuellement des sélections nommées comme ‘Pretty Betsy’ (rosé soutenu) ou ‘Snowcloud’ (blanc). En sol riche ou à mi-ombre, la plante peut “filer”, avec des tiges plus longues et moins tenues ; la meilleure tenue s’obtient en plein soleil, sur substrat drainant et modérément pauvre.
Plante de plein soleil, Centranthus ruber tolère très bien chaleur et vent, y compris les embruns littoraux. Elle préfère les sols drainants, pauvres à modérément fertiles, caillouteux, souvent calcaires. Le pH optimal est neutre à alcalin, mais un pH légèrement acide est toléré si le drainage est irréprochable. L’eau stagnante hivernale est son principal facteur d’échec. Côté rusticité, elle supporte généralement -12 à -15 °C en sol drainé et exposition favorable (pied de mur plein sud en climat continental). En régions froides, une couverture minérale (pouzzolane, gravier) favorise la pérennité de la souche.
Très mellifère et nectarifère, Centranthus ruber attire abeilles sauvages, abeilles domestiques, syrphes et papillons, dont le spectaculaire sphinx colibri (Macroglossum stellatarum). Sa longue période de floraison constitue une ressource continue en été, période parfois pauvre en nectar. Les touffes fournissent un micro-habitat dans les milieux minéraux, et les graines peuvent intéresser quelques granivores opportunistes. Dans une composition de jardin sec, elle s’insère parfaitement dans une séquence de floraisons étalées qui soutient la biodiversité tout en réduisant l’arrosage. D’un point de vue sanitaire, la plante est généralement considérée comme non problématique au jardin ; comme pour la plupart des ornementales, évitez l’ingestion et sensibilisez les enfants.
La confusion entre Centranthus ruber (valériane rouge) et la “coquelourde” (Lychnis/Silene coronaria) est fréquente. La coquelourde présente un feuillage gris argenté duveteux et de larges fleurs à cinq pétales, le plus souvent magenta vif ; elle appartient au genre Silene et non à Centranthus. Centranthus ruber, au contraire, a un feuillage glauque lisse et des corymbes de petites fleurs tubulaires étoilées, avec éperon caractéristique. Leurs usages paysagers se rejoignent en jardins secs, mais ce sont deux plantes distinctes aux gestions culturales différentes.
Installez Centranthus ruber en plein soleil (au moins 6 heures d’ensoleillement direct par jour) pour assurer compacité, floribondité et bonne tenue. En climat chaud, une ombre légère en fin d’après-midi est tolérée mais non nécessaire. Le sol doit être très drainant : en terrain compact, incorporez 30 à 50 % de matériaux minéraux (gravier roulé 4/8, pouzzolane, sable grossier) sur 25 à 30 cm de profondeur. Évitez les amendements organiques riches qui stimulent la végétation au détriment des fleurs et augmentent le risque de verse et de pourridié. En sol très pauvre, un mince apport de compost mûr tamisé (1 à 2 litres par plant) suffit à la reprise sans nuire à la sobriété du système. En climat humide ou sur argile, créez une butte ou une rocaille surélevée de 15 à 30 cm, et préférez un paillage minéral clair qui stabilise la température, limite les adventices et favorise des semis spontanés facilement maîtrisés.
Avant la plantation, réalisez un test simple : creusez un trou de 30 cm de profondeur, remplissez-le d’eau. S’il se vide en moins d’une heure, le drainage est correct ; entre 1 et 3 heures, améliorez le drainage (apports minéraux, surélévation) ; au-delà de 3 heures, évitez la plantation en pleine terre sans remaniement profond, et privilégiez bac/rocailles surélevées.
La meilleure période de plantation est l’automne (septembre à novembre) en climat doux, ou le printemps (mars à mai) ailleurs, hors périodes de gel. Plantez au niveau du collet, sans enterrer la base ligneuse, et arrosez copieusement au moment de la mise en place pour chasser l’air des cavités. Laissez ensuite sécher entre deux arrosages, dès que les racines s’installent.
- Espacements et densités
Bordure aérée : 40 à 50 cm entre chaque plant. Effet couvre-sol rapide en massif : 4 à 6 plants/m² selon la vigueur locale. Niches de muret : comblez les poches de substrat minéral, tassez légèrement et plantez serré pour un effet “spontané” maîtrisé.
- Paillage adapté
Privilégiez 5 à 7 cm de paillage minéral (graviers, pouzzolane). Évitez les paillis organiques épais qui conservent l’humidité et enrichissent excessivement le sol. Les granulométries mixtes 4/8 + 8/16 donnent un rendu naturel et stable.
Au GAEC Senteurs du Quercy, chaque plante est cultivée en conteneur de 1,4 L anti-chignon BAMAPLAST pour un enracinement optimum. Le mélange utilisé est composé d'un terreau drainant à base de fibre de bois utilisable en agriculture biologique et enrichi en terre végétale non traitée afin de stimuler le microbiome (les bactéries et champignons) du sol ainsi permettre la mise en place de mycorhizes pour une meilleure reprise et une meilleur résilience de vos plantes. Le paillage en fibre de coco pour l'économie d'eau et la non utilisation de produits phytosanitaires complète notre engagement en faveur d'une production adaptée à notre époque : une solution durable, esthétique et performante pour vos plantes de terrain sec.
Frugale, la centranthe n’aime pas les excès d’eau. Après l’arrosage d’installation, contentez-vous d’un appoint modéré le premier été : 10 à 15 litres par plant toutes les 2 à 3 semaines en absence de pluie, en sol très drainant. À partir de la deuxième année, l’irrigation peut cesser en climat tempéré ; intervenez seulement en vagues de chaleur prolongées si vous souhaitez maintenir une floraison soutenue. En pot, laissez sécher la moitié supérieure du substrat entre deux arrosages, plutôt qu’un apport fréquent et léger.
Côté fertilisation, abstenez-vous d’apports réguliers : un sol pauvre garantit un port compact et florifère. Les excès d’azote allongent les tiges et diminuent la tenue au vent. En bac, une micro-fertilisation à libération lente au printemps (dose conservatrice) peut suffire, mais de nombreux sujets se satisfont d’un substrat minéral bien conçu sans fertilisation annuelle.
- Fin d’hiver (février-mars) : rabattez les touffes à 10–15 cm si elles sont dégingandées ou dégarnies à la base. Nettoyez les débris pour limiter l’humidité stagnante.
- Printemps (avril-mai) : palissez éventuellement dans les sites venteux, désherbez au pied, ajustez le paillage minéral si nécessaire.
- Été (juin-juillet) : supprimez au fur et à mesure les inflorescences fanées pour prolonger la floraison. Après le premier grand pic, une taille douce à 1/3 de la hauteur favorise une remontée uniforme.
- Fin d’été/début d’automne : si vous souhaitez limiter les semis spontanés, coupez les têtes avant la mise à graine ; sinon, laissez quelques panicules mûrir pour le renouvellement naturel du massif.
- Tous les 3 à 5 ans : renouvelez partiellement en favorisant des semis bien placés, supprimez les sujets trop ligneux, et comblez les vides avec de jeunes plants.
La centranthe se ressème d’elle-même. Pour un semis contrôlé, récoltez les graines brunes et sèches en fin d’été, semez au printemps ou à l’automne, en surface ou très peu recouvertes : la lumière facilite la germination. Substrat : sable grossier + terreau tamisé, très drainant. Gardez humide sans excès, germination en 2 à 4 semaines selon température. Repiquez ou éclaircissez à 40 cm.
La division de souche est rarement pratique (tissus charnus, base ligneuse). Préférez les boutures de tiges non florifères au printemps : 8–10 cm, coupe sous un nœud, éliminez les feuilles basales, plantez dans un mélange drainant (1/2 sable grossier, 1/2 perlite/terreau léger), sous ambiance douce lumineuse, sans chaleur excessive. Enracinement en 3 à 5 semaines.
En fin d’hiver ou au printemps, prélevez les jeunes semis installés au mauvais endroit (joints friables, bordures) avec une gouge et replanter les au bon emplacement. Arrosez une fois à la reprise.
Centranthus ruber est peu sujette aux maladies si le drainage est bon. Principaux risques :
- Pourridié de collet en sol humide : amélioration du drainage, paillage minéral, arrosages espacés.
- Oïdium en fin d’été sur sujets surdensifiés : éclaircissage, taille légère et bonne aération.
- Limaces/escargots sur jeunes semis après pluie : paillage minéral grossier, désherbage régulier et pièges passifs suffisent généralement.
- Verse en sol riche : réduire la fertilité, tailler pour compacter, associer à des graminées tuteurs naturelles.
- Gel intense : parties aériennes détruites ponctuellement ; la souche repart au printemps si elle est saine et au sec.
La valériane rouge se naturalise aisément sur talus, friches, berges et falaises. Dans certaines zones hors de son aire (côtes atlantiques, Méditerranée, îles Britanniques, côte pacifique d’Amérique du Nord), elle peut s’installer dans les maçonneries anciennes ou sur habitats rocheux sensibles. Mesures de bon sens :
- Coupez les inflorescences avant la montée à graine dans les sites sensibles.
- Évitez la plantation au contact d’habitats protégés, de falaises de nidification ou de murs patrimoniaux aux joints friables ; préférez des poches dédiées et contrôlées.
- Utilisez un paillage minéral plutôt qu’organique (limite l’implantation durable des semis).
- Programmez un passage annuel de contrôle des semis périphériques en espaces publics.
Centranthus ruber est un pilier des ambiances méditerranéennes et prairies sèches. Son style léger et sa floraison aérienne offrent un contraste idéal avec les feuillages argentés et aromatiques :
- Lavandes (Lavandula angustifolia, L. x intermedia), santolines (Santolina chamaecyparissus), immortelles d’Italie (Helichrysum italicum), armoises (Artemisia ‘Powis Castle’), germandrées (Teucrium chamaedrys).
- Graminées fines : Stipa tenuissima (Nassella tenuissima), Festuca glauca, Lygeum spartum, Miscanthus sinensis 'Gracillimus' pour une verticalité dorée.
- Floraisons bleues et mauves qui dialoguent avec rouges/roses : nepetas, perovskias (Salvia yangii), sauges ornementales (Salvia nemorosa, S. greggii), caryoptéris.
- Camaïeux doux : ‘Roseus’ avec achillées jaunes (‘Moonshine’), euphorbes (Euphorbia characias subps. wulfenii), gauras (Oenothera), cistes et phlomis herbacés.
Astuce palette : limitez à une ou deux couleurs dominantes de Centranthus ruber par zone pour assurer une lecture paysagère claire, et réservez une troisième teinte pour ponctuer ou créer des transitions.
- Rocailles et talus : plantez en poches de substrat minéral pour que la centranthe colonise les interstices et stabilise visuellement les pentes. Sa trame répétée crée un motif lisible de loin.
- Murets et fissures : iconique sur murs de soutènement et façades anciennes ; implantez dans des anfractuosités garnies d’un mélange pierreux drainant. Protégez les maçonneries fragiles en ciblant des poches dédiées afin de préserver l’intégrité des joints.
- Bacs et jardinières : réussite en contenant dès 15–20 litres, substrat drainant (1/2 minéral 1/2 terreau léger), arrosage parcimonieux. Associez-la à romarin rampant, origan, thym, petites graminées ou sedums.
- Toitures extensives : possible sur 12–15 cm de substrat minéral, exposition plein soleil et drainage impeccable. Elle apporte une strate florale haute, complémentaire des sedums, armerias, dianthus et petites graminées, très attractive pour les pollinisateurs.
- Densités : 4–6 plants/m² sur massif à couverture rapide ; 3–4/m² sur talus secs en matrice avec graminées (Stipa, Festuca).
- Phasage : une vague d’automne et une vague de printemps maximisent la reprise, étalent la floraison et réduisent les risques climatiques.
- Arrosage d’établissement : 2–3 apports le premier été (10–15 L/plant) en l’absence de pluie ; ensuite, régime sec.
- Gestion des semis spontanés : tolérance contrôlée pour assurer le renouvellement ; suppression des sujets mal placés (bordures, joints sensibles, zones patrimoniales) durant le passage d’entretien.
- Sol et désherbage : proscrire les films géotextiles en surface dans les jardins secs ornementaux ; préférer un paillage minéral et un désherbage sélectif, plus esthétique et favorable à la faune.
Avant plantation près de sites naturels sensibles (falaises, dunes, maçonneries classées) ou en bord de littoral, vérifiez le statut local de naturalisation/invasivité et les objectifs de conservation. Dans les zones où Centranthus ruber est jugée problématique, diminuez sa part au profit d’alternatives locales non envahissantes au même usage : phlomis, euphorbes méditerranéennes, teucriums, cistes, achillées, orpins (Hylotelephium/Sedum), armerias, dianthus. En patrimoine bâti, privilégiez des plantations en poches maîtrisées et des contrôles annuels pour éviter l’enracinement dans les joints.
- Prairie sèche urbaine Composition : alternance de Centranthus ruber ‘Coccineus’ et Festuca glauca, ponctuée de Salvia nemorosa et Achillea ‘Moonshine’. Paillage minéral clair. Résultat : effet graphique dès la première saison, insectes pollinisateurs très présents. Entretien réduit à deux passages/an (défleurissement, rabattage).
- Talus routier Trame : rubans de centranthe rose et blanche en damier avec Stipa tenuissima. Irrigation limitée à l’établissement. Mise à fleur significative dès l’année 1, effet stabilisé à partir de l’année 2. Très bonne lecture depuis la voirie.
- Cour minérale méditerranéenne Plantation en poches dans dallage drainant : ‘Albus’, Helichrysum italicum, Santolina, thym. Ambiance argentée/clair idéale pour les façades chaudes. Entretien minimal, arrosage nul après installation.
- Toiture extensive Matrice de sedums, ponctuée de taches de Centranthus ruber pour apporter hauteur, floraison estivale et nectar.
Plantez à l’automne en climat doux, ou au printemps ailleurs, hors gel. L’automne favorise un enracinement profond avant l’été suivant.
Oui, en bac de 15–20 litres minimum, substrat très drainant (au moins 50 % de minéral), arrosages espacés mais copieux à chaque fois. Évitez les soucoupes gorgées d’eau.
La coquelourde a un feuillage gris argenté duveteux et de grandes fleurs plates ; la centranthe a un feuillage glauque lisse et des bouquets de petites fleurs tubulaires. Elles partagent le goût des sols secs mais sont botaniquement distinctes.
Elle se ressème facilement. Pour contenir : supprimez les inflorescences avant la montée à graine dans les zones sensibles, utilisez un paillage minéral, arrachez les semis mal placés au printemps.
Défleurissez régulièrement, taillez à 1/3 après le premier pic (début été) pour stimuler la remontée. Rabattez de nouveau légèrement en fin d’hiver pour densifier. - Est-elle adaptée aux régions froides ? Oui, si le drainage est excellent et l’exposition chaude. Protégez la souche de l’humidité hivernale, privilégiez un pied de mur plein sud et un paillage minéral. Les parties aériennes peuvent geler sans compromettre la souche.
Oui. Elle attire abeilles, syrphes et papillons, notamment le sphinx colibri, très apprécié des visiteurs.
La plante n’est généralement pas signalée comme problématique au jardin. Par prudence, évitez l’ingestion et consultez un professionnel en cas d’ingestion accidentelle.
Fréquemment 5 à 7 ans et davantage en sol pauvre et bien drainé. Le renouvellement par semis spontanés contribue à la pérennité du massif.
La division est délicate et rarement nécessaire. Préférez le repiquage de semis spontanés ou les boutures de tiges non florifères au printemps.
Souvent signe d’excès d’humidité ou de fertilité. Améliorez le drainage, réduisez les apports organiques, taillez pour compacter et associez des graminées pour la tenue.
Tolérance limitée : compensez par un drainage irréprochable et une minéralisation du substrat (gravier, pouzzolane). Un léger chaulage peut être envisagé si le site le permet.
Non en pleine terre bien conçue. En bac, un apport très modéré à libération lente au printemps peut suffire, sans excès d’azote.
Plein soleil. Une ombre légère en fin d’après-midi est tolérée, mais le soleil direct assure la meilleure floraison et une silhouette compacte.
valeriane des murs
culture idéale pour ceux qui n'ont pas la main verte! belle floraison remontante en fin d'été si on enlève la première floraison fanée
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