Phillyrea media - Filaire à feuilles luisantes
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Phillyrea media - Filaire à feuilles luisantes

Arbuste touffu, au port dense et ramifié dès la base. Feuilles persistantes coriaces, vert plus vif et plus luisant que Phillyrea angustifolia. Fleurs blanc verdâtre discrètes mais parfumées, suivies de baies noires en automne. Supporte bien la taille.

 

Origine : Bassin méditerranéen. Vit dans les maquis et les zones arbustives des régions méditerranéennes maritimes et continentales, jusqu'à 1000 m d'altitude. Il est facilement confondu avec Rhamnus alaternus à l'exception des ses feuilles opposées. 

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Caractéristiques des Phillyrea media - Filaire à feuilles luisantes

Genre :
Phillyrea
Espèce :
media
Famille :
Oleaceae
Rusticité :
Résistant jusqu’à - 28 ºC
Taille (Haut. x Larg.) :
2 m x 3 m
Densité de plantation par m² :
1
Parfum :
floraison parfumée

Floraison

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Résistance à la sécheresse :
besoin en eau faible
Hauteur en fleur :
plus de 2 m
Exposition :
mi-ombre
soleil
Couleur :
crème
Nature du feuillage :
persistant
Période de floraison :
printemps
Plante parfumée :
floraison parfumée
pH du sol :
Basique (calcaire Ph > 7.5)
Nature du sol :
s'adapte à tous les sols
Zone de rusticité :
Z5 :  - 28°C à - 23°C
Type de plantes :
arbuste
Usage de la plante :
en massif
haie champêtre
pot et conteneur
Genre botanique :
Phillyrea

Caractéristiques et variétés de Phillyrea adaptées aux jardins secs

Morphologie et cycle végétatif

La Phillyrea est un arbuste persistant à croissance lente à modérée (en moyenne 10 à 20 cm/an une fois installée), doté d’une longévité remarquable. Son port, naturellement compact et ramifié dès la base, dessine des masses vertes très structurantes, idéales pour les haies et les topiaires souples. Les feuilles, opposées, coriaces et lustrées, maintiennent une belle tenue même sous forte chaleur. La floraison intervient au printemps (avril-mai selon régions) sous forme de petites panicules blanc verdâtre, discrètes mais mellifères et souvent délicatement parfumées. Elle est suivie en automne de petites drupes qui virent au noir bleuté, prisées par merles et grives, ce qui renforce l’intérêt écologique des plantations.

Le système racinaire, d’abord fasciculé, s’ancre progressivement en profondeur dès lors que le sol est filtrant. Cette architecture racinaire explique la tolérance marquée à la sécheresse et la bonne résistance au vent. La lignification rapide des jeunes pousses protège l’arbuste des embruns et des coups de chaud. À maturité, selon l’espèce et le contexte, une filaire peut atteindre 3 à 6 m de hauteur, avec une couronne naturellement dense et équilibrée. En climat très doux et en sol idéalement drainé, des sujets vénérables évoluent parfois en petits arbres structurels.

 

Principales espèces et variétés (P. latifolia, P. angustifolia, sélections)

Trois espèces dominent les usages en jardins secs, chacune offrant une texture de feuillage et un gabarit distincts.

Phillyrea latifolia (filaire à larges feuilles) : l’allure la plus “arborée”. Avec le temps, elle peut former un petit arbre de 4 à 6 m (parfois 8 m dans d’excellentes conditions), à tronc court et houppier compact. Ses feuilles plus larges évoquent l’olivier sans l’aspect argenté. Idéale en haie haute, brise-vue durable, topiaire contemporaine (nuages, boules, cônes) ou sujet isolé architecturant. Rustique jusqu’à environ -12/-15 °C en sol drainant, elle supporte vent et embruns et s’adapte bien aux expositions brûlantes.

- Phillyrea media (filaire à feuilles luisante) : Arbuste touffu, au port dense et ramifié dès la base. Feuilles persistantes coriaces, vert plus vif et plus luisant que Phillyrea angustifolia. Fleurs blanc verdâtre discrètes mais parfumées, suivies de baies noires en automne. Supporte bien la taille.

Phillyrea angustifolia (filaire à feuilles étroites) : feuillage fin et étroit, texturé, offrant un rendu plus lumineux et léger. Hauteur adulte 3 à 5 m. Naturellement dense, elle compose des haies moyennes très élégantes et des scènes de garrigue aériennes. Particulièrement adaptée aux sols calcaires et aux talus pierreux, elle est souvent jugée un peu plus endurante en conditions très sèches, à rusticité comparable.

Des sélections horticoles existent (ports plus compacts, végétation serrée) et conviennent bien aux haies basses, à la culture en bac et aux topiaires fines. Le choix s’opère selon l’effet visuel et la fonction recherchés : 

 

Tolérance climatique et conditions de sol

Plante de garrigue par excellence, la filaire excelle en plein soleil, chaleur, vent et sols caillouteux, pauvres ou calcaires. En climat tempéré, elle se montre fiable jusqu’à environ -12/-15 °C à condition que le sol soit parfaitement drainé (les froids secs sont mieux tolérés que les froids humides). En Europe de l’Ouest, on la plante avec succès en zones littorales, urbaines minérales et vallées abritées, mais aussi sur coteaux bien exposés. Elle s’accommode d’un pH neutre à calcaire (pH 7 à 8,5), avec une préférence marquée pour les substrats minéraux filtrants.

En revanche, la Phillyrea redoute l’asphyxie racinaire. Les sols lourds, compactés et gorgés d’eau en hiver doivent être allégés (minéral, butte, drainage) et, si possible, associés à une légère pente. La mi-ombre claire est tolérée, notamment dans les régions très chaudes, mais un ombrage dense allonge les entre-nœuds, amollit le port et diminue la densité de la haie.

 

Avantages écologiques et paysagers

Les Phillyrea - Filaires répondent à plusieurs enjeux de biodiversité et de résilience :

  • Faune auxiliaire : floraison mellifère printanière appréciée des pollinisateurs, fruits consommés par les oiseaux, feuillage dense offrant abri et sites de nidification.
  • Sobriété hydrique : réduction tangible du budget arrosage, bénéfique pour jardins privés et espaces publics en période de restrictions d’eau.
  • Structure permanente : charpente verte persistante 12 mois sur 12, garantissant lisibilité des massifs et cohérence du paysage en toute saison.
  • Résistance et pérennité : longévité élevée, faible sensibilité aux maladies en conditions sèches et drainées, excellente tenue au vent et aux embruns.

Paysagèrement, la filaire sert de “squelette” fiable, autour duquel s’organisent les floraisons saisonnières et les textures des compagnes xérophiles. Taillée en lignes nettes ou en volumes souples, ou encore laissée libre, elle garde une belle tenue sans efforts.

 

Plantation et entretien pour réussir la Phillyrea en jardin sec

Préparation du sol et choix de l’emplacement Un diagnostic simple s’impose :

  • Sol lourd/argileux : décompactez large (trou 2 à 3 fois le diamètre de la motte), allégez avec 30 à 50 % de matériaux minéraux drainants (graviers roulés 4/10, pouzzolane, sable grossier), et plantez sur butte si besoin pour rehausser le collet au-dessus du niveau du terrain. Évitez les apports organiques riches (retiennent l’eau, pousses molles).
  • Sol caillouteux ou calcaire filtrant : un décompactage et une remise à niveau suffisent la plupart du temps.

Astuce pro : faites un test d’infiltration. Remplissez d’eau la fosse préparée. Si l’eau disparaît en moins d’une heure, le drainage est correct. Au-delà, ajoutez du minéral et/ou relevez la plantation.

Choisissez un emplacement très ensoleillé, si possible abrité des vents glaciaux en climat continental. L’effet de mur (rayonnement) ou de sol minéral (granulats clair) améliore l’installation et la tolérance au froid humide.

 

Notre démarche :

Au GAEC Senteurs du Quercy, chaque plante est cultivée en conteneur de 1,4 L anti-chignon BAMAPLAST pour un enracinement optimum. Le mélange utilisé est composé d'un terreau drainant à base de fibre de bois utilisable en agriculture biologique et enrichi en terre végétale non traitée afin de stimuler le microbiome (les bactéries et champignons) du sol ainsi permettre la mise en place de mycorhizes pour une meilleure reprise et une meilleur résilience de vos plantes. Le paillage en fibre de coco pour l'économie d'eau et la non utilisation de produits phytosanitaires complète notre engagement en faveur d'une production adaptée à notre époque : une solution durable, esthétique et performante pour vos plantes de terrain sec.

 

Techniques de plantation (période, espacement, paillage, tuteurage) Périodes recommandées :

  • Climat doux/littoral : octobre à mars hors gel, pour que l’enracinement d’hiver limite les arrosages estivaux.
  • Climat plus froid : mars-avril, afin d’offrir toute la belle saison pour s’installer avant le premier hiver.

 

Procédure :

  • Utilisez des plants en conteneur anti-chignon.
  • Positionnez le collet au niveau du sol fini. Comblez avec terre locale allégée de minéral, sans enrichissement organique lourd.
  • Arrosez de tassement généreusement pour chasser l’air (10 à 15 L).
  • Posez un paillage minéral (5 à 8 cm de pouzzolane, gravier, concassé) en veillant à laisser le collet dégagé. Ce paillage limite l’évaporation, réchauffe le sol au printemps et bloque les adventices sans retenir excessivement l’humidité.

 

Espacements selon usages :

  • Haie basse à moyenne (1,2 à 1,8 m) : 0,60 à 0,80 m entre plants (jusqu’à 1,0 m si l’on accepte un temps de fermeture plus long).
  • Haie haute/brise-vue (2 à 3 m) : 0,80 à 1,00 m entre plants.
  • Double rang (haie très opaque) : 0,80 m sur le rang, 0,60 m entre rangs en quinconce.
  • Massifs libres et groupes : 1,5 à 2,0 m pour percevoir les silhouettes.
  • Sujet isolé/topiaire : laissez 2 à 3 m autour pour la mise en valeur.

 

Arrosage, fertilisation et tolérance à la sécheresse

La réussite tient à un arrosage d’établissement bien conduit, avant de basculer vers l’autonomie hydrique.

  • Année 1 : arrosages profonds et espacés. Par temps sec, 1 à 2 fois/semaine. Au goutte-à-goutte, 2 à 3 goutteurs/plant (2 L/h), 45 à 60 minutes par séance. Visez un mouillage en profondeur, puis laissez sécher en surface entre deux arrosages.
  • Année 2 : réduisez à un arrosage toutes les 2 à 3 semaines, uniquement en cas de sécheresse prolongée.
  • Année 3 et suivantes : aucun arrosage en pleine terre, sauf canicule très longue ou sols extrêmement superficiels.

 

En bac, adaptez : arrosez lorsque les 3 à 4 premiers centimètres du substrat sont secs, en évitant tout excès. Utilisez un contenant généreux et très drainant pour lisser les besoins.

 

Fertilisation : inutile en pleine terre. Évitez tout apport azoté stimulant, qui induit une végétation tendre et sensible au stress hydrique et au froid. Sur sols très pauvres, un léger apport de compost mûr incorporé en profondeur au moment de la plantation peut suffire. En bac, un amendement à libération lente, très modéré, au printemps, est amplement suffisant.

 

Taille et gestion sanitaire

La filaire supporte très bien la taille et reconstitue son volume avec régularité.

  • Périodes de taille : juste après floraison (fin de printemps) pour les formes libres; fin d’été-début d’automne en climat doux pour les haies nettes. Évitez les tailles sévères en fin d’automne dans les régions gélives.
  • Haies : 1 à 2 tailles légères/an maintiennent une ligne propre sans fatiguer la plante. Préférez plusieurs petites tailles à une taille drastique.
  • Sujets libres/topiaires : éclaircissez l’intérieur tous les 2 ans pour favoriser la lumière et l’aération. En nuages (style niwaki), intervenez par touches, en respectant la structure.
  • Reprise sur vieux bois : possible, mais fractionnez la rénovation sur 2 à 3 saisons pour limiter le stress.

 

Sanitaire : la Phillyrea est peu sujette aux maladies en sol drainé. Surveiller toutefois :

  • Cochenilles en ambiance confinée ou trop ombragée (détection de miellat, fumagine). Traitement possible à l’huile blanche en fin d’hiver, ou savon noir/alcool à 70° en curatif léger.
  • Pourritures racinaires en sol gorgé d’eau : prévention par drainage et paillage minéral.
  • Chlorose ferrique en sols très calcaires si le système racinaire peine à explorer : corrigez le drainage, ajoutez du minéral, et, si besoin, apport ponctuel de chélates de fer au printemps.

 

Culture en bac/terrasse

  • Contenant : débuter en 15 à 25 L pour un plant de 60-80 cm; monter progressivement à 40-60 L pour les topiaires. Drainage au fond (10 % de pouzzolane).
  • Substrat : 50 % terre minérale filtrante (ou terre végétale légère), 30 % pouzzolane/gravillons, 20 % sable grossier. pH neutre à calcaire.
  • Arrosage : régulier mais mesuré. Laissez sécher la surface entre deux apports; jamais d’eau stagnante en soucoupe.
  • Hivernage : en climat froid, rapprochez les bacs d’un mur abrité, isolez les parois si nécessaire et limitez les arrosages en hiver.

 

Utilisations paysagères, associations végétales

Utilisations en aménagement : haies, brise-vue, massifs secs, topiaires, conteneurs

  • Haies persistantes sobres en eau : P. latifolia pour les écrans hauts et opaques, P. angustifolia pour les haies moyennes plus fines. Lignes propres, peu d’entretien, résilience aux vagues de chaleur.
  • Brise-vue et brise-vent de bord de mer : excellente résistance aux embruns et au vent; feuillage coriace qui ne brûle pas.
  • Massifs secs et rocailles : structure verte permanente. Idéal pour contraster avec les floraisons printanières des cistes et les textures de graminées.
  • Topiaires contemporaines : boules, cônes, nuages, cubes. La repousse régulière facilite le maintien des volumes.
  • Culture en bac/patio urbain : sophistication méditerranéenne, faible besoin en eau comparé à d’autres persistants, maintenance aisée.

 

Associations végétales idéales pour jardins secs

Composez des scènes durables en jouant sur textures, couleurs et saisons, avec des compagnes aux besoins hydriques équivalents :

 

Multiplication, achat et qualité des plants

Multiplication

  • Bouturage : la voie la plus fiable pour conserver les caractéristiques. Boutures semi-aoûtées en été (juillet-août), 8 à 12 cm, base talonnée si possible. Substrat très drainant (50 % perlite, 50 % tourbe/alternative fibreuse), chaleur douce et brumisation légère. Enracinement en 6 à 10 semaines selon conditions.
  • Semis : possible mais lent et aléatoire (dormance, variabilité génétique). Peu utilisé en production ornementale.

 

Calendrier d’entretien

  • Hiver (janvier-février) : contrôle sanitaire, nettoyage du paillage, éventuelle protection contre les froids humides pour jeunes plants (voile respirant si gel prolongé annoncé). Arrosage minimal en pleine terre, modéré en bac hors gel.
  • Printemps (mars-mai) : plantation en régions froides, arrosage d’établissement progressif, taille légère après floraison, contrôle des adventices. Apport très modéré d’engrais à libération lente en bac uniquement.
  • Été (juin-août) : arrosages espacés mais profonds la première année; surveillance des coups de chaud; aucune fertilisation. Tailles d’entretien légères possibles en fin d’été dans les régions douces.
  • Automne (septembre-novembre) : plantation optimale en climat doux; paillage minéral si absent; inspection des tuteurs/lien; taille de formation en climat clément; arrêt progressif des arrosages.

 

Erreurs fréquentes et dépannage

  • Sol lourd, non drainé : symptôme de dépérissement bas, jaunissement, reprises difficiles. Solution : replanter sur butte, ajouter 30 à 50 % de minéral, corriger la pente, pailler minéral.
  • Arrosages trop fréquents et superficiels : induisent racines superficielles et sensibilité à la sécheresse. Solution : arrosages rares mais abondants, puis espacement net.
  • Taille trop tardive avant l’hiver en climat froid : favorise des pousses tendres sensibles au gel. Solution : tailler juste après floraison ou fin d’été en régions douces; éviter les tailles sévères en automne froid.
  • Ombre dense : port lâche, feuillage clairsemé, pression accrue des cochenilles. Solution : déplacer vers une zone plus lumineuse ou éclaircir l’environnement; traiter les cochenilles si nécessaire.
  • Chlorose ferrique sur calcaires durs : jaunissement interveinal des jeunes feuilles. Solution : améliorer le drainage, paillage minéral, éventuellement apport ponctuel de chélates de fer au printemps.

 

FAQ — Phillyrea - Filaires

La Phillyrea est-elle vraiment économe en eau ?

Oui. Une fois installée (2 saisons d’établissement), la filaire vit sans arrosage en pleine terre dans la plupart des sols drainants. Seuls les épisodes caniculaires exceptionnels peuvent justifier un apport.

 

Quelle différence entre P. latifolia et P. angustifolia ?

P. latifolia a des feuilles plus larges et peut devenir un petit arbre, idéale pour écrans hauts et topiaires. P. angustifolia a un feuillage fin et léger, parfait pour haies moyennes et scènes de garrigue. Les deux sont sobres en eau et résistantes au vent et aux embruns.

 

Peut-on planter des filaires en région froide ?

Oui, jusqu’à environ -12/-15 °C en sol drainé. Évitez les fonds de cuvette humides, préférez pentes et expositions abritées. Les jeunes plants profitent d’un voile de protection lors de gels prolongés.

 

La filaire attire-t-elle les insectes utiles ?

Sa floraison printanière est mellifère et ses fruits nourrissent les oiseaux. Son port dense offre gîte et couvert à la petite faune, ce qui en fait un atout pour la biodiversité au jardin.

 

Comment réussir une haie de filaires dense et régulière ?

Plantez serré (0,6 à 1,0 m selon hauteur), paillage minéral, goutte-à-goutte d’établissement 2 saisons, 1 à 2 tailles légères/an. Évitez les coupes tardives sévères, et maintenez une base légèrement plus large que le sommet pour que la lumière pénètre.

 

La filaire supporte-t-elle la pollution urbaine ?

Oui. C’est une excellente plante pour patios minéraux et rues ventées grâce à son feuillage coriace et sa faible sensibilité aux stress urbains.

 

Peut-on former des nuages (niwaki) avec les Phillyrea ?

Tout à fait. La régularité de repousse et la densité du feuillage en font un excellent sujet pour des volumes souples et des nuages contemporains, en plein soleil et sol très drainé.

 

Quelle durée de vie espérer ?

Longue. Bien installée, en sol filtrant et avec un entretien sobre, la filaire vit plusieurs décennies tout en conservant sa structure.

 

 Avis
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 acheté Par le  01 Juin 2022 (Phillyrea media - Filaire à feuilles luisantes) :
(5/5

beau feuillage

bonne reprise, le feuillage est beau, il faut du temps pour qu'elle soit de plus ample envergure, j'imagine

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